27 November 2014



"Sanguin, autoritaire, des manières un peu bling-bling à la Sarkozy, il a su dépoussiérer une administration ankylosée, voire inefficace, et obtenir, lors de son premier mandat, des résultats probants. Mais, en parallèle, José Sócrates fut ce leader louche, ce 'produit médiatique' ou 'politicien Armani' (dixit le Publico pour fustiger son côté gauche caviar), impliqué dans maints scandales et parvenant à chaque fois à se sortir des griffes de la justice. 'Depuis les origines, il a été ce jeune loup, opportuniste, sans idéologie, obsédé par l’escalade des échelons vers le pouvoir suprême, toujours borderline', dit l’historien Fernando Rosas. Ancien militant du parti de droite, le PSD, passé chez les socialistes en 1981, cet admirateur de Tony Blair a connu un parcours peu limpide. Il y a d’ailleurs de fortes chances que son diplôme d’ingénieur civil, obtenu en 1980, soit un faux"

1 comment:

Táxi Pluvioso said...

Fogo! o Libération tornou-se num jornal de direita hip-hop, direita chique, como a vida muda, enfim, bem repete o sábio das Neves que não há almoços grátis. A indústria do jornalismo só tem um veiculo, atualmente, a CMTV, é poesia concreta portuguesa, MeIo e Castro de bigode, Hatherly sem soutien, e as conclusões do locutor são matemática de invejar Crato:

http://www.cmjornal.xl.pt/multimedia/detalhe/cmtv_revela_a_casa_da_paris_que_socrates_comprou_por_3_milhoes.html